Une terre ronde, Une boule flottant dans
l’univers,
Et un seul son qui s’échappe vers
l’infini.
Les voix des hommes, de tous les hommes
Ensemble pour créer cette musicalité,
Ceux qui pleurent, ceux qui rient, ceux
qui crient.
Chacun entend ce qui est proche,
Mais de partout jaillit la voix.
Elle appelle, elle chante, elle rapproche,
Elle sépare aussi parfois.
Elle emporte avec elle les bruits
animaliers,
Elle fait, quand elle gronde, un vacarme
effrayant
Elle s’associe au tonnerre, aux volcans en
colère,
Aux usines, aux véhicules pétaradants.
Jusqu’où l’entend-on ?
Ce brouhaha est –il audible dans
l’immensité ?
Josy
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