Il y a un
enfant, plusieurs enfants,
Qui courent dans un escalier en s’amusant.
Ils habitent
des lieux différents
Et je suis
responsable d’eux, souvent.
Certains
viennent de naître,
De mon corps,
mais pas toujours.
Ils sont incroyables,
ces êtres,
Du lever au
coucher du jour.
Au réveil, ils
sortent par la fenêtre,
Pour
s’évanouir dans le néant,
Mais ils me
hantent journellement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire